Autodidacte dans différentes disciplines des arts plastiques, le dessin et de la sculpture principalement, Charles-Antoine de Halleux s’est inspiré toute sa vie des sujets qui le touchaient pour représenter ou réinventer à loisir, selon les domaines, la nature des choses qui nous entourent.

Au fil du temps, il a évolué du plaisir du design vers celui de créer. Des personnages de bandes dessinées, en passant par le dessin de voitures, de croquis et plans d’architecture, son travail s’est progressivement concentré sur le nu féminin à travers le retour à la matière et le modelage en argile de cette intemporelle et éternelle source d’inspiration.

Les formes, les volumes, les courbes si parfaitement gracieuses et harmonieuses de l’anatomie féminine ont tracé la trajectoire de cet artiste et lui ont permis de trouver sa voie.

Encouragé par la réponse d’un public présent lors des premières expositions, il se consacre désormais à la production et à l’évolution de ses nouvelles oeuvres.

Sa philosophie, par ailleurs, consiste à satisfaire de manière durable ceux qui souhaitent acquérir une de ses pièces. En effet, contrairement à l’art contemporain qui peut se révéler éphémère au plaisir de l’apprécier, le nu féminin reste un sujet intemporel, et le bronze une matière éternelle.

Pour apporter une identité à son travail, l’artiste a choisi de produire des séries limitées de chaque pièce et d’en personnaliser chaque exemplaire d’un détail particulier, les rendant chacun unique de ce fait. A l’inspiration de l’artiste ou à la demande particulière de son acquéreur, un détail est donc rajouté ou gravé à l’étape de la cire pour chaque tirage en bronze, lequel pourra également être patiné selon les préférences et les souhaits de chacun.